Le 21 février 2022, Madame la Ministre déléguée chargée de l’Autonomie, a présenté le plan d’action national pour lutter contre les chutes des personnes âgées et en a confié la coordination à l’échelon régional aux agences régionales de santé, en lien avec les conseils départementaux, les organismes d’assurance vieillesse et les autres acteurs de la prévention de la perte d’autonomie.
Le plan s’articule autour de cinq axes prioritaires interdépendants sur lesquels interviennent déjà nos institutions dans leurs champs de compétences respectifs et un axe transversal relatif à l’information et à la sensibilisation des acteurs. Les plans d’actions régionaux séquencés sur trois ans, attendus pour l’automne prochain, nécessiteront préalablement une phase importante de diagnostic et d’état des lieux des actions déjà menées et une étape également incontournable de concertation avec les acteurs impliqués dans la prévention et la prise en charge des personnes âgées.
Les recommandations sur l’alimentation pour les adultes ont été actualisées en 2019 afin de prendre en compte l’évolution des données scientifiques des dix dernières années.
Ce document ISPAH donne un aperçu des meilleures preuves qui peuvent être utilisées pour défendre, informer et diriger la politique et le débat sur l’activité physique.
Un appel à l’action pour tous, partout, y compris les professionnels, les universitaires, la société civile et les décideurs, afin d’intégrer l’activité physique dans les politiques nationales et infranationales.
Lignes directrices de l’ESC 2021 sur la prévention des maladies cardiovasculaires dans la pratique clinique : élaborées par le groupe de travail pour la prévention des maladies cardiovasculaires dans la pratique clinique avec des représentants de la Société européenne de cardiologie et de 12 sociétés médicales Avec la contribution spéciale de l’Association européenne de cardiologie préventive (EAPC).
Les Lignes directrices de l’OMS sur l’activité physique et la sédentarité offrent des recommandations de santé publique reposant sur des bases factuelles concernant la quantité d’activité physique (fréquence, intensité et durée) dont ont besoin les enfants, les adolescents, les adultes et les personnes âgées pour que cette activité ait des effets bénéfiques significatifs sur leur santé et permette d’atténuer les risques liés à la santé. Pour la première fois, des recommandations sont formulées concernant les associations entre la sédentarité et les résultats sanitaires, ainsi que pour des sous-populations, comme les femmes enceintes et en post-partum ou encore les personnes vivant avec une affection chronique ou un handicap.