L’activité physique durant la grossesse entraîne de nombreux bienfaits pour la santé et ne présente généralement pas de risques pour vous et votre bébé. Cependant, dans certaines conditions, l’activité physique n’est pas recommandée.
Ce questionnaire est conçu pour vous aider à décider si vous devriez parler à votre fournisseur de soins obstétricaux (p. ex. votre médecin ou sage-femme) avant de commencer ou de continuer à faire de l’activité physique, durant la période de votre grossesse.
L’activité physique après l’accouchement entraîne de nombreux bienfaits pour la santé et est généralement sans danger pour vous et votre bébé. Cependant, dans certaines conditions, l’activité physique n’est pas recommandée.
Ce questionnaire est conçu pour vous aider à déterminer si vous devriez parler à votre fournisseur de soins de santé primaires (par exemple, votre médecin ou votre sage-femme) avant de commencer ou de continuer à faire de l’activité physique.
L’activité physique (AP) des femmes enceintes diminue, en durée et en intensité, au cours de la grossesse et dans le post-partum immédiat, pour augmenter ensuite.
Les facteurs de risque d’une faible AP pendant la grossesse sont : une inactivité physique avant la grossesse (ni-veau d’AP inférieur aux recommandations de l’OMS), un âge inférieur à 35 ans, un surpoids (IMC ≥ 25), un traite-ment pour infertilité, un faible niveau socioculturel et une absence de programme d’AP adaptée à la femme en-ceinte.
Pourtant, l’AP a de nombreux effets bénéfiques sur la santé des femmes enceintes, du foetus et du nouveau-né. Les risques liés à une pratique d’AP adaptée pendant la grossesse sont très faibles. Une AP adaptée, pendant la grossesse et en post-partum, doit donc être encouragée après une évaluation médicale et obstétricale et en l’absence de contre-indications objectives.
L’objectif de cette étude était d’effectuer un état des lieux des connaissances sur le périnée des femmes nullipares qui pratiquent un sport à haut impact en Suisse romande.
Méthode. – Cette étude exploratoire quantitative a été réalisée via un questionnaire qui comportait quatre parties : données sociodémographiques, anatomie, périnée et sport ainsi que prévention et traitement. Cent quarante-neuf formulaires ont été inclus dans l’analyse statistique descriptive.
Résultats. – Les trois orifices du périnée ont été nommés par 29,5 % des participantes. Au total, 86,6 % ont mentionné la continence urinaire comme fonction du périnée ; 81,9 % ont affirmé que tous les sports n’ont pas le même impact sur le périnée ; 44,3 % ont désigné le sport comme facteur de risque de trouble pelvipérinéaux. Toutefois, 28,2 % ont considéré les fuites urinaires normales durant le sport et 76,5 % ne connaissaient pas les traitements ; 69,9 % étaient intéressées à recevoir plus d’informations.
Conclusion. – Des lacunes et de fausses croyances ont été identifiées, ce qui mène les sportives à entretenir de mauvaises habitudes. Ce travail pourrait donc être poursuivi par l’élaboration d’un plan de prévention.
Le bon déroulement de la grossesse et le bien-être de l’enfant reposent sur un suivi médical complété par une préparation à la naissance et à la parentalité (PNP) structurée, dont l’objectif est de contribuer à l’amélioration de l’état de santé global des femmes enceintes, des accouchées et des nouveau-nés.
Ces recommandations proposent une approche plus humaniste de la naissance qui favorise la participation active de la femme et du couple dans leur projet de naissance.
Cette approche prend en compte les désirs, les émotions, les perceptions de chaque femme ainsi que son contexte de vie et son environnement. Elle contribue à renforcer l’estime de soi, le sens critique, la capacité de prise de décision et la capacité d’action de la femme ou du couple. De ce fait, le rôle des professionnels et les relations des professionnels de santé entre eux se trouvent modifiés. La personnalisation de
l’accompagnement, la mise en place de dispositifs précoces et leur poursuite, en particulier pour les femmes les plus vulnérables, impliquent une continuité de la démarche de soins et une meilleure coordination par un travail en réseau, quels que soient la discipline et le mode d’exercice.