par Editeur | 27 mai 2025
Chronic ankle instability (CAI) develops in 20% to 40% of patients after ankle sprains because of inappropriate management or a premature return to sports (RTS). Patients become candidates for surgery when nonoperative treatment fails. The results of arthroscopic lateral ligament reconstruction have been shown to be excellent. However, there is no consensus on the RTS criteria in these cases. The Ankle-GO score, which has been validated in lateral ankle sprains, is an evidence-based protocol for RTS.
→ Version française
par Editeur | 27 mai 2025
L’instabilité chronique de la cheville (ICC) se développe chez 20 à 40 % des patients après une entorse de la cheville, en raison d’une prise en charge inadaptée ou d’un retour prématuré au sport (RPS). Les patients deviennent candidats à la chirurgie en cas d’échec du traitement non chirurgical. Les résultats de la reconstruction arthroscopique des ligaments latéraux se sont avérés excellents. Cependant, il n’existe pas de consensus sur les critères de RPS dans ces cas. Le score Ankle-GO, validé pour les entorses latérales de la cheville, est un protocole fondé sur des données probantes pour le RPS.
→ Version anglaise
par Editeur | 03 avril 2025
L’entorse de cheville est souvent banalisée par une grande majorité de la population qui méconnaît les risques de récidive et d’instabilité chronique, en l’absence d’une prise en charge appropriée.
Après un traumatisme en torsion de cheville entraînant des symptômes (douleur, œdème, limitation fonctionnelle, etc.), toute personne devrait consulter un médecin généraliste ou un masseur-kinésithérapeute exerçant dans le cadre de l’accès direct ou d’un protocole national de coopération – idéalement dans les 24 heures suivant le traumatisme…
par Editeur | 03 avril 2025
L’entorse de cheville est souvent banalisée par une grande majorité de la population qui méconnaît les risques de récidive et d’instabilité chronique, en l’absence d’une prise en charge appropriée.
Après un traumatisme en torsion de cheville entraînant des symptômes (douleur, œdème, limitation fonctionnelle, etc.), toute personne devrait consulter un médecin généraliste ou un masseur-kinésithérapeute exerçant dans le cadre de l’accès direct ou d’un protocole national de coopération – idéalement dans les 24 heures suivant le traumatisme.
Cette consultation vise à évaluer la nécessité de prévoir, ou non, une rééducation – particulièrement afin de prévenir les risques de récidive et d’instabilité chronique de la cheville – et à prodiguer des conseils à défaut de rééducation, le cas échéant. En présence de signes évoquant un diagnostic différentiel à l’entorse du ligament collatéral latéral, une prise en charge médicale est préconisée.
par Editeur | 03 avril 2025
Les diagnostics différentiels graves d’une entorse de cheville sont nombreux. Il n’y a pas de moyen simple et reproductible de les éliminer formellement. Le professionnel de santé prenant en charge une personne après traumatisme de cheville doit mobiliser l’ensemble des éléments de l’anamnèse, de l’examen clinique et des examens complémentaires au regard de son expérience clinique pour faire le bon diagnostic.
L’entorse du ligament collatéral latéral est la lésion la plus fréquemment retrouvée. Cette forte prévalence ne doit pas occulter les autres lésions moins fréquentes qui constituent les diagnostics différentiels d’un traumatisme de cheville.