Lutte contre le manque d’activité physique : les ados (et leurs parents) mis au défi !
« Faire bouger les ados, c’est pas évident. Mais les encourager, c’est important » : tel était le message diffusé dès la rentrée 2022-2023 à travers une campagne conçue par Santé publique France, en lien avec le ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques et le comité d’organisation de Paris 2024. L’objectif : favoriser la pratique d’activité physique des jeunes et limiter leur sédentarité… (page 51)
Le rapport d’activité 2022 de l’AFLD (84 pages) souligne que l’Agence est déjà pleinement engagée dans la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) de Paris 2024 aux côtés des institutions sportives, afin d’assurer en amont un programme antidopage complet et robuste.
Le CESER insiste régulièrement sur la nécessité d’accentuer les politiques de prévention en matière de santé. La santé des jeunes tout au long de leur formation est avant tout préventive.
Pistes de réflexion pour faire de l’activité physique un réel recours contre la sédentarité.
Le « sport-santé » est devenu une évidence dans notre monde post-pandémie. Beaucoup d’acteurs du sport mentionnent le « sport-santé » et le secteur de la santé s’en empare également. Cela correspond au fait, démontré scientifiquement, que le sport est bon pour la santé. Plus précisément, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’activité physique est très bénéfique pour la santé du coeur, du corps et de l’esprit.
Victor Querton, Chef du pôle Jeunesse Education populaire et Vie associative – DRAJES Centre-Val de Loire,
édition Point d’AEncrage, avril 2023, 64 pages.
L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) s’est autosaisie le 29 mars 2017 afin d’évaluer les risques liés aux niveaux d’activité physique et de sédentarité des adultes de 18 à 64 ans, hors femmes enceintes et ménopausées, à partir des données recueillies en 2014-2015 de l’étude individuelle et nationale sur les consommations alimentaires Inca3.
Cette autosaisine s’inscrit dans la continuité du rapport de l’Anses publié en février 2016, intitulé « Actualisation des repères du PNNS – Révisions des repères relatifs à l’activité physique et à la sédentarité » (Anses 2016)