Ce guide présente la prise en charge des formes les plus fréquentes de cancers du côlon. Il n’aborde ni les cancers liés à une prédisposition génétique (syndrome de Lynch et polypose adénomateuse familiale ou PAF), ni les cancers liés à une maladie inflammatoire chronique de l’intestin comme la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique.
Collection Guides patients Cancer info, INCa, mars 2010, 37 pages.
L’éducation thérapeutique des patientes atteintes de cancer du sein constitue une dimension de l’activité de divers professionnels. Elle doit veiller à l’implication de la patiente et de son entourage : intelligibilité de sa maladie, maîtrise des gestes techniques et adaptation du mode de vie. L’éducation thérapeutique vise à faire acquérir au patient (en lien avec son entourage) des compétences lui permettant de gérer sa maladie, de réaliser lui-même les gestes liés aux soins et de prévenir les complications évitables. Ces actions d’éducation thérapeutique requièrent le concours de différents professionnels de santé, qui peuvent intervenir au moyen d’actes individuels auprès des patients ou par une éducation de groupe. La coordination des différents professionnels est préférable à la juxtaposition d’interventions isolées.
L’ambition de ce guide a pour objectif de fournir aux professionnels des repères théoriques et pratiques à la mise en place d’actions sur le thème de l’activité physique.
La pratique régulière de l’activité physique améliore la santé et la qualité de vie, prévient les maladies, renforce la cohésion sociale, favorise la prospérité et contribue au développement durable. Les collectivités qui
soutiennent l’activité physique par un ensemble de moyens, dans différents contextes et pour les citoyens de tous âges, bénéficient de ces avantages. Cette charte est un appel à tous les pays, aux régions, aux communautés locales pour intensifier l’engagement des gouvernements et des collectivités afin de rendre la pratique de l’activité physique accessible à tous.
L’enquête montre quels sont les Etats membres dont les citoyens pratiquent le plus (ou le moins) d’activités physiques, mais également dans quel contexte les personnes interrogées font de l’exercice – par exemple si elles pratiquent un sport spécifique ou si elles ont des activités physiques plus informelles. Cette étude montre également comment les citoyens de l’UE perçoivent les possibilités de faire du sport là où ils vivent, combien de personnes ont une activité bénévole qui soutient les activités sportives dans leurs communautés, et combien de temps elles consacrent à ce bénévolat.