Résumé du rapport d’expertise collective de L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) présentant l’actualisation des repères relatifs à l’activité physique et à la sédentarité, publié en 2016.
L’Anses a décidé de considérer l’Expertise collective Inserm (2008) comme socle initial de connaissances, de le compléter par les publications scientifiques les plus récentes, et d’étendre le champ d’expertise à d’autres problématiques actuelles en lien avec l’AP. Cette démarche a permis notamment de développer le rôle du sommeil et sa relation à l’AP, et d’étudier et de proposer des recommandations à destination des personnes présentant une limitation fonctionnelle d’activité (LFA). D’autres points ont été pris en compte, visant à caractériser les risques liés à la pratique en atmosphère polluée, mais aussi à distinguer nettement les questions relatives à l’AP de celles relatives à la sédentarité. Ceci a finalement conduit à affiner les recommandations existantes concernant l’activité physique et à établir des recommandations concernant le comportement sédentaire.
Relèvent de l’exonération du ticket modérateur les situations suivantes :
La maladie asthmatique
Dans le cas de la maladie asthmatique, les seuls critères gazométriques ou spirométriques ne sont pas toujours pertinents. Est concerné l’asthme persistant sévère défini par l’association des critères de sévérité clinique et des critères thérapeutiques
Article . L. 1172-1. Dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une affection de longue durée, le médecin traitant peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. Remplacé et amandé par la loi du 2 mars 2022.