Harris : Étude européenne sur la sédentarité (2018)
Le niveau de sédentarité est inégal en Europe et varie assez nettement selon les pays concernés par cette enquête.
Le niveau de sédentarité est inégal en Europe et varie assez nettement selon les pays concernés par cette enquête.
L’association Côte Basque Sport Santé et le Centre Hospitalier Côte Basque ont mis en place un dispositif de sport sur ordonnance à l’échelle du territoire Pays Basque Adour, visant les personnes sédentaires et les malades chroniques en affection de longue durée. Ce dispositif s’appuie sur un réseau, unique en France, financé par des partenaires publics et privés, et mis en oeuvre par plusieurs centaines de médecins, associations sportives et éducateurs médico-sportifs, qui propose un accompagnement adapté ainsi qu’une variété de pratiques d’activités physiques. Le sport sur ordonnance est donc une réalité : plus de 1000 patients ont ainsi été déjà accompagnés, avec des résultats très encourageants.
La prescription médicale d’activité physique adaptée : connaissances et besoins des médecins généralistes d’Ile-de-France
En lien avec le développement des transports et la transformation des modes de vie, le niveau de sédentarité s’est considérablement accru dans de nombreux pays, en particulier les pays développés, avec des conséquences majeures pour la santé générale des populations, tant au niveau de la prévalence de maladies non transmissibles (maladies cardio-vasculaires, diabète, cancers) que de leurs facteurs de risque (hypertension, glycémie, surcharge pondérale). L’inactivité physique serait directement responsable de près d’un million de décès par an au sein de l’Union Européenne.
La Ministre des solidarités et de la santé et la Ministre des sports ont confié à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et à l’Inspection générale de la jeunesse et des sports (IGJS) une mission d’évaluation des actions menées en matière d’activité physique et sportive et de santé. La mission est composée de Stéphanie Dupays et Abdelkrim Kiour pour l’IGAS et de Fabienne Bourdais et Jean-Pierre de Vincenzi pour l’IGJS.