par Anthony Bacquaert | 13 juillet 2022
Cette étude appréhende avec beaucoup de finesse la sensibilité du sujet, en explorant toutes les situations individuelles et collectives qu’implique la pratique d’une activité physique dans un environnement professionnel. Cette étude nous indique aussi notre devoir de prévenir la dégradation de la santé en situation de travail. Enfin, elle souligne que les élèves, aspirants à la haute fonction publique territoriale et donc au management, sont bien arrimés au quotidien de la vie professionnelle des collègues.
par Editeur | 13 juillet 2022
Fournir au médecin prescripteur d’AP à des fins de santé les connaissances nécessaires sur l’AP, la sédentarité et la condition physique.
Permettre au médecin de jouer son rôle dans le parcours de santé centré sur la prescription d’AP et communiquer avec les professionnels de l’AP.
par Anthony Bacquaert | 13 juillet 2022
Guide pratique validé par le Collège le 13 juillet 2022.
par Editeur | 23 juin 2022
Le Programme national nutrition santé 2019-2023 (PNNS 4) a été lancé par la ministre des Solidarités et de la santé le 20 septembre 2019. Il a pour objectif général d’améliorer l’état de santé de l’ensemble de la population, en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs, la nutrition, au sens de l’alimentation et de l’activité physique. Son objectif transversal de réduction des inégalités sociales de santé dans le domaine de l’alimentation et de l’activité physique sous-tend toute action déployée par le PNNS, en recherchant la mise en œuvre du principe d’universalisme proportionné.
Le PNNS 4 s’applique à tous, dans l’Hexagone et les Outre-mer. Il prévoit néanmoins un volet complémentaire « Outre-mer » qui a pour objectif de prendre en compte les spécificités territoriales des territoires ultramarins.
par Editeur | 08 juin 2022
Puisque nous devons composer avec les répercussions à grande échelle de la pandémie de COVID 19 et en tirer des enseignements, il nous faut tous réfléchir à l’un de ses aspects les plus frappants, à savoir son terrible bilan en termes de santé mentale. Les taux d’affections déjà courantes telles que la dépression et l’anxiété ont augmenté de 25 % dans la première année de la pandémie, alors que l’on recensait déjà près d’un milliard de personnes souffrant de troubles psychiques. Nous devons aussi être conscients de la fragilité des systèmes de santé, qui tentent de répondre aux nouveaux besoins de soin tout en continuant de traiter les troubles psychiques antérieurs à la pandémie.