Globalement, les données sur le premier confinement sont assez peu surprenantes et vont dans le sens de ce que l’on prévoyait » indique le Pr Davenne, Président du Conseil scientifique de l’INSV, chronobiologiste et Directeur du laboratoire Comete Université de Caen. Le stress vécu a été source, comme souvent, de réveils nocturnes. Les populations, que l’on sait habituellement le plus sensibles aux situations stressantes : jeunes, femmes ou, celles qui étaient le plus exposées à ces situations (personnes infectées par la Covid-19 ou leurs proches, soignants), sont celles qui ont subi les plus fortes conséquences de cet événement en termes de santé psychique et de sommeil…
Bien dormir pour mieux faire face (36 pages).
Institut national du sommeil et de la vigilance
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