L’activité physique régulière et modérée a une efficacité prouvée pour un coût relativement modeste dans la prévention primaire et secondaire dans les maladies cardiovasculaires.
En prévention secondaire le réentraînement est une part majeure de la réadaptation et ses risques sont extrêmement minimes. Une bonne connaissance des symptômes, des adaptations à l’effort et des traitements des pathologies cardiovasculaires est nécessaire pour encadrer une activité physique surtout dans les populations les plus à risques.
Comment évaluer le niveau de condition physique et aider le jeune (8-13 ans) à orienter ses pratiques physiques et sa santé ?
En ayant la possibilité de comparer les résultats obtenus aux différentes mesures et aux différents tests d’évaluation à ceux de populations identiques (même âge, même sexe, même pays), l’enseignant, « l’ambassadeur », le spécialiste de santé et l’entraîneur peuvent rapidement détecter les difficultés motrices de certains jeunes ou au contraire les qualités exceptionnelles d’autres et leur proposer une pédagogie mieux adaptée à leurs possibilités du moment.