L’enquête montre quels sont les Etats membres dont les citoyens pratiquent le plus (ou le moins) d’activités physiques, mais également dans quel contexte les personnes interrogées font de l’exercice – par exemple si elles pratiquent un sport spécifique ou si elles ont des activités physiques plus informelles. Cette étude montre également comment les citoyens de l’UE perçoivent les possibilités de faire du sport là où ils vivent, combien de personnes ont une activité bénévole qui soutient les activités sportives dans leurs communautés, et combien de temps elles consacrent à ce bénévolat.
L’activité physique est un moyen essentiel d’améliorer la santé tant physique que mentale. Cependant, elle ne fait pas partie de la vie quotidienne d’un grand nombre de personnes, ce qui nuit beaucoup à la santé et au bien-être. Il est estimé
que le manque d’activité physique est à l’origine d’environ 600 000 décès par an dans la Région européenne de l’OMS.
Une action contre cet important facteur de risque réduirait l’incidence des maladies cardiovasculaires, du diabète non
insulinodépendant, de l’hypertension, de certains cancers, des maladies musculosquelettiques et des troubles mentaux.
En outre, l’activité physique est un moyen primordial de lutter contre l’épidémie de surpoids et d’obésité, qui représente
un nouveau problème mondial de santé publique
À ce jour, l’ensemble des auteurs s’accordent pour dire qu’il n’existe aucun consensus dans la littérature ou parmi les organismes de réglementation quant à la définition des boissons énergisantes. Néanmoins, au vu du corpus étudié, voici des pistes pour une proposition de définition globale de ces boissons.
Propositions pour la programmation de la recherche en prévention des cancers.
Collection État des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012.
Ce document s’inscrit dans la mise en œuvre du Plan Cancer 2009-2013
Vu l’importance de l’activité physique pour la santé publique, le mandat mondial confié à l’OMS pour la promotion de l’activité physique et de la prévention des maladies non transmissibles et le faible nombre de recommandations nationales élaborées dans ce domaine dans les pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, il est clairement nécessaire d’élaborer des recommandations mondiales portant sur le lien entre la fréquence, la durée, l’intensité, le type et la quantité totale d’activité physique nécessaire à la prévention des maladies non transmissibles.
Les Recommandations mondiales sur l’activité physique pour la santé sont essentiellement axées sur la prévention primaire des maladies non transmissibles par l’activité physique au niveau des populations et s’adressent principalement aux décideurs à l’échelle nationale.