L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) s’est autosaisie le 29 mars 2017 afin d’évaluer les risques liés aux niveaux d’activité physique et de sédentarité des adultes de 18 à 64 ans, hors femmes enceintes et ménopausées, à partir des données recueillies en 2014-2015 de l’étude individuelle et nationale sur les consommations alimentaires Inca3.
Cette autosaisine s’inscrit dans la continuité du rapport de l’Anses publié en février 2016, intitulé « Actualisation des repères du PNNS – Révisions des repères relatifs à l’activité physique et à la sédentarité » (Anses 2016)
La perte d’autonomie peut se définir comme le fait d’être limité dans la vie quotidienne : se trouve dans cette situation tout personne confrontée à un problème de santé qui lui impose d’être aidée pour l’accomplissement des besoins essentiels de la vie.
L’élément majeur du contexte est connu de tous : l’arrivée des générations nombreuses du baby-boom aux âges où la perte d’autonomie devient plus fréquente va créer un besoin d’aide dans les actes de la vie quotidienne d’une ampleur inédite. Or, au moment précis où la vague démographique approche, les politiques publiques de l’autonomie se voient enjointes de prendre un « virage domiciliaire » qui correspond à la fois au souhait de la majorité des personnes âgées de « vieillir chez soi », et à une volonté plus globale de favoriser la prise en charge à domicile et la désinstitutionnalisation – comme en attestent, sur trois plans différents, le « virage ambulatoire » pris depuis une dizaine d’années par le secteur sanitaire, l’avis 128 du Conseil Consultatif National d’Ethique sur les enjeux éthiques du vieillissement qui se prononçait contre la « concentration » des personnes âgées dans des établissements d’hébergement et prônait des « alternatives à l’Ehpad », ou encore les rapports successifs de l’ONU sur les droits des personnes handicapées, très critiques envers la prise en charge en établissement.
Active travel modes, especially walking and cycling, are now recognized by many as modes that are fully equal to other urban transport modes, integrated in planning frameworks, and adopted as part of the mainstream – not just in trailblazer countries, but worldwide. An ever-growing body of science underpins the gains society can reap from active travel in terms of transport, health and environmental benefits. Planning practice has accumulated a rich portfolio of measures ready to be considered for inspiration, adaptation and possible application in every city. This publication presents a comprehensive case for why and how to promote walking and cycling, based on the latest evidence from scientific research and planning practice.
… et recensement des besoins et des difficultés exprimés par les collectivités locales.
Un sondage portant sur les politiques locales sport-santé, par le biais de sa Commission Sport Santé Prévention Handicap et avec le soutien de la Direction Générale de la santé.
Les 421 retours ont permis de dresser un premier panorama des initiatives locales en termes de sport-santé ainsi que des besoins et des attentes exprimés par les élus locaux dans le cadre d’une politique sport santé. Dans cette lignée, cette analyse a permis également de proposer 10 fiches pratiques adaptées aux élus locaux.